• La cathédrale de Chartres,

    chef d'oeuvre de l'art gothique médiéval

                                 Une tradition dit qu’un siècle avant la naissance du Christ on vénérait en secret dans une grotte à l’emplacement même de la cathédrale actuelle, une vierge à l’enfant…On trouve trace de la première cathédrale de Chartres dès le IVe siècle. Tympan du portail Sud de la Cathédrale Notre Dame de Chartres - Patrick Forget / www.sagaphoto.com
    Elle sera brûlée en 858 lors d’un raid  viking… Une cathédrale romane sera reconstruite en 1020, aussi détruite par un incendie en 1194, on sauva cependant la précieuse relique du voile de la Vierge, encore visible de nos jours, et un précieux vitrail « Notre Dame de la Belle Verrière », enchâssé  au XIIIe siècle dans une fenêtre du Chœur. Saint Bernard a puissamment contribué au culte de la Vierge à l’époque médiévale, et c’est à Chartres qu’elle fut le plus honorée et vénérée. En 30 ans les bâtisseurs de Dieu reconstruisent l’édifice gothique que l’on connaît aujourd’hui. De l’époque plus ancienne nous reste les cryptes carolingiennes et romanes ou se trouve le puits « des Saints Forts » (d’origine gallo-romaine) en hommage aux victimes jetées dans le vide par les vikings. La cathédrale de Chartres a gardé ses précieux vitraux du XIIIe, sa statuaire et surtout son célèbre labyrinthe.

    Le labyrinthe à l’origine chemin de l’initiation, devint dans les cathédrales le symbole du chemin vers Dieu. C’est à genou et en priant que les pèlerins suivent le dédale pour atteindre le centre ou se trouve la dalle symbolique, ils bénéficient ainsi des mêmes grâces et indulgences accordées lors d’un pèlerinage sur la route de Jérusalem... Ne manquez pas cette visite lors d’un passage dans la Beauce…
     
     
     
     
       

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  • Celtes et Celtisme

    Petites Histoires du Druidisme (par SYD)                        

     

    Le Druidisme est la Religion des Celtes antiques, c'est-à-dire qu’il existait il y a 2000 Les chroniques mystérieuses d'Alchimia Magazineans, ce qui au regard de la vie du monde n’est pas si loin. Pourtant il semble n’être rien resté puisque les Druides n’écrivaient pas et n’auraient laissé que bien peu de pistes.

    Les récentes recherches faites sur les sites archéologiques des nombreux sites celtiques européens tendent à prouver le lien entre les populations paléolithiques, néolithiques et celtes. Cette nouvelle donne module l’image acquise du Celte arrivé par horde de l’Est ou du Nord de l’Europe. Les corrélations entre les pratiques ancestrales chamaniques et liées à la Déesse Mère sont de plus tout à fait en adéquation avec les cultes Druidiques antiques tout autant que la souche commune de toutes les cultures ancestrales indo européennes. L’émigration a bien eu lieu mais bien plus avant que ce que l’on croyait.

    « …la thèse qui présentent des proto-celtes envahisseurs venus de l’Est entre le XIII et le VII siècle avant JC est désormais abandonnée. Sans vouloir leur attribuer une filiation précise jusqu’au Néolithique, il est maintenant admis qu’ils descendent de populations déjà installées en Europe à l’âge de bronze … »
    (Christiane Eluère, conservateur en chef des musées nationaux, L’Europe des Celtes)

    D’autre part les universitaires, dans leur travaux sur le Celtisme et le Druidisme se sont essentiellement basés sur les mythes et les textes Irlandais, les dires de César et de quelques intellectuels conditionnés dans une culture très différente des Celtes. Aujourd’hui cette erreur n’est plus de mise, de nombreuses personnes tiennent comptes des us et coutumes hérités par nos grand parents et il y a matière, tant en Irlande, en Ecosse, en Angleterre, en France, où l’on retrouve des gestes et des mots très clairement païens, gardant encore enclos le nom des Divinités ancestrales.

    Ainsi il nous reste beaucoup de matière druidique si nous nous donnons la peine d’aller la chercher : contes, us & coutumes, pratiques magiques, médicinales etc.

    Si toute cette matière a pris les chemins de traverse, l’inconscient et le non dit, l’époque romantique et son attrait pour l’archéologie celte va apporter un nouvel élan d’intérêt. Napoléon III financera les fouilles de Bibracte et Vercingétorix deviendra un Héros national. Ainsi il se détache de cette époque trois branches :

    Le Druidisme issu d’une Lignée de Mutualiste Henri Hurle
    De tendance Judéo - Chrétienne ce Druidisme n’a pas de volonté proprement religieuse ou spirituelle mais sociale.


    Le Druidisme de la Lignée de Iolo Morganwg (1792)
    Iolo Morganwg remit en faveur les Eistedfood et rencontre Bardique avec grand succès. Ce Druidisme actif est défenseur de la culture et de la Tradition. On pourrait le qualifier de Druidisme Culturel afin de le distinguer des deux autres. Les Gorsedd de Bretagne et du Pays de Galles sont héritières de cette lignée. Iolo fit de nombreux travaux de collectes et de rassemblement de l’ancienne culture.


    Le Druidisme de la lignée de John Toland
    Cette troisième lignée serait directement héritée de l’ADO. L’Ancien Druid Ordre qui fait remonter sa présence à l’assemblée de John Toland et devint un des plus grands groupes de Grande - Bretagne. George Watson MacGregor - Reid en fut longtemps le préside et Ross Nichols l’y rejoint. A la mort de Mac Gregor, Ross Nichols, dit Nuinn quitte le groupe et fonde l’Ordre des Bardes Des Ovates et des Druides. Nuinn est mort en 1975. Philip Carr Gomm qu’il initia dès l’âge de 15 ans devint le chef élu de l’Ordre. Cet Ordre compte aujourd’hui environ 8000 membres de par le monde. On peut en définir un Druidisme Spirituel, qui s’attache à pratiquer un Druidisme animiste et ouvert. C'est aussi de cette branche qu'est issu le BDO etc.

    Des chercheurs de Dieux comme la Société Théosophique, le Druidisme et la tout jeune Wicca vont permettre une approche et une réflexion différente, ouverte et naturelle.

    Il s’avère qu’aujourd’hui l’issue de ces évolutions nous présente deux types d’approche du Druidisme. Le Druidisme que l’on eut appeler sacerdotal, c'est-à-dire des groupes très hiérarchisés, structurés, aux règles strictes et souvent issus des Gorsedd galloises et bretonnes et un Druidisme plus axé sur le travail spirituel, le travail personnel, la quête, la reliance à la nature, comme l’OBOD, le BDO, l’ordre de l’If, le Nemeton etc.

    Ainsi le Druidisme, si il est l’héritage des Celtes, est aussi une pratique spirituelle que chacun peut mettre en pratique où que ce soit, en liaison (re-lier) avec la Terre Mère, les ancêtres, le ciel et l’Ici et Maintenant.

    Des milliers de Druides existent de par le monde entier.


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  • Emission radio                                                    

    Le troisième dimanche de chaque mois, à 9h40 sur France Culture, des membres d'une Grande Loge s’expriment, en leur nom, sur des points de leurs parcours maçonniques respectifs, donnant l’occasion au grand public de se familiariser avec ce qui constitue à la fois l’unité et la diversité de points de vues des membres.

    La fréquence de France Culture à Paris est 93.50 MHz, FM.

    Pour la province, vous pouvez trouver la fréquence correspondant à votre ville

     sur le site de Radio-France

                                                                        

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    RADIO TEMPLE                                              

     

    RADIOTEMPLE est la première Radio Maçonnique diffusée exclusivement sur Internet et dédiée aux  Francs-Maçons(nes) de toutes les obédiences francophones. 

    Près de 2 ans après son lancement, elle compte plus de 25.000 auditrices et auditeurs réguliers répartis dans 47 pays.

    RADIOTEMPLE a pour but d'informer et de divertir ses membres, dans un esprit de respect mutuel, de fraternité et de tolérance.

    Ses programmes, diffusés 24 Heures sur 24 et 7 jours sur 7 proposent des débats, entretiens, reportages et chroniques, accompagnés d'informations pratiques, de musique classique, de chanson française et de jazz.

     

    Pour vous connecter au site de Radio Temple, cliquez sur le lien: 

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  • PVI

    POINTS DE VUE INITIATIQUES                             


    PVI (Points de Vue Initiatiques) est la revue trimestrielle de la Grande Loge de France qui rassemble des textes initiatiques, symboliques et traditionnels, mais aussi historiques et contemporains de la Franc Maçonnerie.

     

    Points de Vue Initiatiques n°150 : « Le Bonheur Maçonnique »

    ImageLe Bonheur Maçonnique

    La démarche initiatique est la recherche pure et simple du bonheur. Il n’y a pas de chemin qui mène au bonheur, c’est le chemin qui est le bonheur, car il n’est de bonheur complet que partagé.
    La Franc-maçonnerie n’apporte pas de bonheur tout fait, tout préparé, sur mesure. Mais elle donne à l’initié la force et les outils pour forger en lui des « pensées de bonheur » par l’Art Royal, avec les arts eux-mêmes, qui l’éloignent de ses passions, de ses préjugés et de son égoïsme naturel.
    Le Bonheur est simple comme bonjour, et c’est pourquoi il est si difficile : il n’est qu’un grand oui au monde et à la vie. Il s’agit de désirer le réel – de l’aimer, si l’on peut, de l’accepter, si l’on ne peut pas – tel qu’il est, au lieu de le refuser toujours pour désirer l’irréel.
    Le bonheur maçonnique est-il une suite de plaisirs ou s’agit-il de chercher la félicité maçonnique de la sagesse grâce aux joies de l’esprit et du corps, à la joie d’être et d’agir pour les autres ? Pour « achever au dehors l’œuvre commencée dans ce Temple », il faut l’avoir pleinement assimilée par son cheminement initiatique vers son intériorité, c’est-à-dire vers son éternité individuelle, vers son Bonheur intime.
    Que la joie soit dans les cœurs ! La joie est un état actif de plénitude qui tire sa force de l’ordre que les hommes de sagesse aspirent à réaliser et de l’ordre universel. La joie nous rend plus vifs dans un plus vaste monde. La joie est le chant de la vie.
    Le bonheur est contagieux, propageons-le !

    Sommaire :

    Vous avez dit… bonheur ? – Christian Roblin
    La démarche initiatique est la recherche pure et simple du bonheur – José Barthomeuf  
    Être Franc-maçon : J’ai ce bonheur ! – Jean-Jacques Gabut  
    Propos - maçonniques - sur le Bonheur – André Ughetto  
    Le Bonheur est simple comme bonjour – Bruno Phélébon-Griolet  
    Le Contentement, une vertu ancienne qui conduit à la Joie – Gérard Markl  
    Bonheur ou félicité ? – Pierre-Frédéric Ténière-Buchot  
    Le cheminement du Franc-maçon vers le bonheur
    ou de la matérialité à l’éternité – Richard Brunois  
    Travailler sans relâche au bonheur de l’humanité – Bernard Lasserre  
    De la sérénité intérieure au « Bonheur de l’Humanité »
    Une approche de l’histoire du Bonheur maçonnique – Jean-Pierre Casimir  
    Que la Joie soit dans les Cœurs ! – François Bénétin  

    Cercle Concorcet-Brossolette
    Conférence
    Peut-on rire en Franc-maçonnerie ? Pierre-Frédéric Ténière-Buchot  

    Tratidion
    Les Trois Dragons de l’Empire du Milieu  
    Confucius ou l’éloge du Rite et de la Vertu – René Delherme  
    Tao tö King, le Joyau de Jade patrimoine de l’humanité
    & La Rupture Lumineuse (Bodhidharma)   Dimitri Davidenko  

    Symbolisme
    La Réalisation spirituelle – Franck Martin  

    Histoire
    Henry Francken – Patrick-André Chéné  

    Conte Symbolique
    La Grande Dépression du Doute – Jean-François Pluviaud  

    Regards sur le monde
    Rubrique animée par Marc de Jode

     


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