• Le bambou.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Nous sommes quelque fois attristés par les piètres résultats de notre travail. Il arrive que le désarroi et le découragement nous envahit, parce que l’on ne voit aucun progrès dans les résultats malgré tous les efforts que l’on a fait.<o:p></o:p>

    Mais les efforts et le travail ne sont jamais perdus, même si il peut nous apparaître à l’occasion que le temps que l’on perçoit, à notre échelle humaine, ne sera jamais de notre coté et que rien ne nous sera rendu..<o:p></o:p>

    Soyons patient comme le sont ceux qui cultivent le bambou.<o:p></o:p>

    Le bambou est une plante qui sert à de multiples usages. Les asiatiques s’en servent pour fabriquer le papier depuis des millénaires. Son bois est souple et solide, assez pour en faire des meubles, des échafaudage ou des constructions des plus solides. De plus ses jeunes pousses sont délicieuses et sont consommés par des millions d’humains.<o:p></o:p>

    Saviez vous comment on cultive le bambou ?<o:p></o:p>

    La première année on dépose la graine dans une terre fertile et grasse que l’on arrose généreusement. Rien n’apparaît à la première année. La seconde année on fertilise et l’on arrose toujours généreusement. Rien n’apparaît à la deuxième année. La troisième année on fertilise et l’on arrose toujours généreusement. Rien n’apparaît à la troisième année.<o:p></o:p>

    La quatrième année, la plante surgit de la terre et avec la croissance record de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter w:st="on" ProductID="1 m">1 m</st1:metricconverter> par jour et certaines espèces atteindront <st1:metricconverter w:st="on" ProductID="40 mètres">40 mètres</st1:metricconverter> de hauteur.<o:p></o:p>

    Morale.<o:p></o:p>

    Nos gestes quels qu’ils soient ont un impact qu’il est difficile de mesurer. Un regard bienveillant, un mot d’encouragement ou un conseil éclairé peut avoir des conséquences merveilleuses, qu’il est difficile de mesurer quelque fois à l’échelle de notre vie humaine. Comme franc-maçon nous avons appris la patience du tailleur de pierre. A toutes les fois que l’on fais le bon geste, que l’on utilise le bon outil, nous progressons dans la taille de notre pierre parfaite.

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